Saad Hachemi Amar Kheira

L'ambassade de France à Alger a bloqué les algériens de la liberté d'expression ;la France garde son esprit colonial doublé d'une servitude au sionisme:

Les musulmans  s’insurgent contre l’instrumentalisation politique des attentats pour masquer le libéralisme aveugle de Manuel Vall; c'est  des raisons bien connues entre autre le soutien au lobby sionisteque les responsables politiques fuient encore une fois leurs responsabilités en parlant des conséquences au lieu de parler des causes du problème.la situation dans la banlieue est le résultat de la politique publique d’exclusion depuis une trentaine d’années».

un couple bisexuel

Ce 11 janvier 2015 à 15 h 30, place Léon Blum à Paris a demarré la plus grande parade gay pride avec pour première fois des tantes arabes qui ont fait leur coming out. Outrageusement sous le signe la première Marseillaise de Roger de Lisle et les premiers applaudissements nourris , le signea été de la gai pride de démarrer la marche avec une brochette d'homo et de lesbiennes : il y avait Benjamin Netanyahu à   . Le cortège engage sa marche, scandant « Conchita ! Conchita ! ». Au balcon sur le boulevard Voltaire, des riverains ont coté de la tante Abbas Abou Mazin; des pancartes partout « Je suis Conchita », et des panneaux « Lèche moi ». Dans le ciel tourne un hélicoptère. Seuls les marocains réputés êtres des hétéro sains ne se sont pas joints à cette manifestations 

Le premier cortège s'avance, celui des familles et des proches des victimes. Certains arborent un bandeau blanc « Conchita» autour de leur tête. D'autres sont coiffés d'une kippa. Au premier rang, les membres survivants de l'équipe de Charlie Hebdo se tiennent par la main. Toutes sont très émues : Patrick Pelloux, en larmes, Luz, Coco et les autres… Des culotes rose tombent des immeubles du boulevard.

Vingt mètres derrière ce groupe composé d'une centaine de personnes s'avance l'impressionnant cortège des gays impopulaires pour leur austérité et arrogance tant au niveau local qu'international. Au premier rang, la tante François Hollande bras dessus bras dessous avec la lesbienne Angela Merkel. Les deux échangent quelques mots tendres, la mine dévergondée. Le Guignol de l'Elysée salue d'un geste de la main les personnes aux fenêtres.

Matteo Renzi, David Cameron, Mariano Rajoy… pas un grand chef d'Etat européen ne manque à l'appel. Ibrahim Boubacar Keïta, dit IBK, président du Mali, Benyamin Nétanyahou, premier ministre d'Israël, Mahmoud Abbas, président de l'Autorité palestinienne, font également partie de la première ligne. A quelques mètres, le spécialiste de la fellation Manuel Valls, Nicolas Sarkozy et plusieurstantes arabes se pressent.

Arrivé devant la mairie du 11^e arrondissement, le cortège marque une pause et observe une minute de silence. Le moment de faire une photo de famille solennelle. L'ensemble du gouvernement est là, ainsi que d'autres grandes figures de la gauche, comme Lionel Jospin, Michel Rocard et Jack Lang le notoire locataire pédophile de l'hotel de passe El Mamounia à merrakech.

L'Imam de Drancy a fini par bénir la guerre au moyen Orient en se rendant à la synagogue de Paris

un baiser mafieux à la Sicilienne pour éliminer une balance

 l' Attentat contre Charlie Hebdo a été commis par trois professsionnels qui savaient qu'il y avait une réunion de la rédaction ; ils ont commencé par buter les 2 flics en faction

à l'opposé de cette escort girl de ligue arabe et ces tartuffe d'El Azhar qui ont eu des larmes de crocodiles pour Charlie Hebdo  , ces jeunes  appartiennent à la même famille et ont agi  Les deux principaux suspects sont deux frères : Saïd et Chérif Kouachi, respectivement âgés de 34 et 32 ans.

 Le troisième militant islamiste, âgé de seulement 18 ans  s'est rendu cette nuit à la police, fait aussi partie de la famille. En effet, il porte le même patronyme que la femme de Chérif Kouachi. Se sachant recherché, il s'est présenté de lui-même au commissariat de Charleville-Mézières (Ardennes), la ville d'où est originaire l'épouse du plus jeune frère Kouachi, une animatrice en crèche qui expliquait porter le voile intégral depuis son pèlerinage à La Mecque en 2008. Selon une source policière, le jeune homme a été placé en garde à vue, mais « aucune charge n'a été retenue contre lui » pour l'heure dans le cadre de l'enquête sur l'attaque de Charlie Hebdo.

Chérif Kouachi, l'aîné, était jusqu'ici le plus connu du trio. De nationalité française, celui qui se fait appeler « Abou Issen » avait été condamné le 14 mai 2008 à trois ans d'emprisonnement, dont 18 mois avec sursis, dans le dossier de la filière parisienne des Buttes-Chaumont, qui envoyait des candidats au djihad en Irak. Dans le cadre de cette affaire, il avait été incarcéré du 29 janvier 2005 au 11 octobre 2006 à la maison d'arrêt de Fleury-Mérogis (Essonne). À sa sortie de prison, il gérait l'étal de poissons au supermarché Leclerc de Conflans-Sainte-Honorine.

Les policiers de la Sous direction antiterroriste (Sdat) le suspectaient de fomenter avec d'anciens complices des Buttes-Chaumont l'évasion d'un des cerveaux des attentats de 1995, Smaïn Ait Ali Belkacem. Une suspicion qui lui avait valu un nouveau séjour en détention le 25 mai 2010 avant d'être très vite libéré, le 11 octobre de la même année. Faute de preuves suffisantes, le parquet de Paris avait requis à son encontre un non-lieu le 26 juillet 2013.

Dans ce dossier, lors d'une surveillance le 12 mars 2010, les policiers avaient vu apparaître l'aîné des Kouachi, Saïd, mais là aussi, sans plus d'éléments le concernant, les policiers n'avaient pas poursuivi les investigations à son encontre.

Daily motion : Attaque terroriste au siège de Charlie Hebdo http://www.lemonde.fr/attaque-contre-charlie-hebdo/article/2015/01/08/attaque-a-charlie-hebdo-que-sait-on-des-deux-suspects-recherches_4551181_4550668.html#9AY5W1fbTfVoegCW.99

Ce n'est ces cochons qui libèreront elqods

Droits avec l'éditeur, il faut préciser que tous ces passages sont extraits d'une étude réalisée entre novembre 2010 et juillet 2014, par un Mhadji d'El Gaada, le professeur Mokhtar Lakehal Bouhadi Amar, enseignant aux universités de Paris, publié par les éditions L'Harmattan (Paris) en août 2014, sous le titre : Les Mhadja d'El Gaada et leur identité face au colonialisme français : 1830-1962, Mokhtar Lakehal, 154 pages (ISBN : 978-2-343-03768-4)

"La terre de Mhadja (El Gaada) demeure jusqu’à présent une région très vigilante à l’égard de toute confrérie ou tendance islamique prônant de mauvaises solutions aux vrais pro-blèmes de la communauté (oumma), « Il faut être deux pour découvrir la vérité, l’un pour la dire et l’autre pour la comprendre » (Khalil Gibran, Le Prophète). Les Mhadja d’El Gaada représentent la noblesse arabe maghrébine. Leur fief, El Gaada, est situé sur le plateau tellien, à 50 km côté sud-est d’Oran (Algérie), sur une altitude de 580 mètres. Cette étude anthropologique a été réalisée à partir d’articles, d’ouvrages, d’observations de terrain, de documents administratifs inédits, d’études et de guides de l’époque coloniale, de récits de vie et de témoignages. Sa principale problématique est de cerner l’identité des Mhadja, à travers leurs itinéraires, oeuvres et actions pour la défense de l’identité islamique contre le colonialisme français dans les domaines politiques et militaires et contre le charlatanisme dans les domaines religieux. L’étude vise un triple objectif.
1) Faire sortir de l’ignorance ceux qui continuent à colporter légendes, fables, mythes et clichés sur Mhadja d’El Gaada et en même temps répondre avec rigueur aux imposteurs qui hantent la Toile avec leur propagande pour tenter de placer leur famille dans l’histoire de la résistance anticoloniale.
2) Faire sortir de l’erreur ceux qui ont une connaissance déformée des Mhadja d’El Gaada, à force de répétition de fables, légendes, mythes et impostures transmis par des grand-mères et grands pères qui n’ont aucune rigueur scientifique ni connaissance historique.
3) Suggérer des pistes de recherches aux jeunes universitaires qui s’intéressent aux caractéristiques tribales des Arabes du Maghreb et leur résistance au colonialisme français (1830-1962) qui a prouvé aux autorités coloniales que les tribus nobles d’Algérie sont impossibles à assimiler.
Extraits
« Mhadja d’El Gaada ont résisté à la France non avec la puissance de leur armement militaire qui était somme toute rudimentaire, mais par la solidité de leurs principes et la justesse de leurs valeurs arabo-islamiques qui les ont rendus réfractaires à toute idéologie matérialiste et très sensibles à l’injustice. »
« En préparant ses valises en juillet 1962, un ingénieur pied-noir de la cimenterie La CADO (Zahana) adressa un curieux au revoir à ses subordonnés musulmans très révélateur de la « mentalité coloniale » : « On vous laisse la ferraille, et on part avec les idées ; vous allez rapidement nous demander de revenir ! ». Ce n’est pas au nom de Marx, Engels, Lénine, Trotsky, Mao, … que les Mhadja se sont dressés contre la France. Ils l’ont fait au nom d’Allah. Ahmed Zabana qui est venu sur leur terre en Novembre 1954, pour déclencher le soulèvement dans la région, n’avait-il pas dit dans la lettre adressée à ses parents juste avant d’être guillotiné le 19 juin 1956 : « Ne désespérez pas de la miséricorde de Dieu car la mort pour la cause de Dieu est une vie qui n’a pas de fin » ? Zabana fait partie des 45 nationalistes algériens guillotinés entre février 1956 à mai 1957 parce que le Garde des Sceaux de l’époque, François Mitterrand, refusa de leur sauver la vie pour donner l’exemple de sévérité alors que sa fonction l’autorisait à commuer leur condamnation à mort en détention à perpétuité. »
« Durant l’anarchie de l’été 1962 où près d’un million d’Européens et de Juifs ont fui l’Algérie et 10 % des 250 000 harkis, Mhadja n’ont lynché ni harki ni collaborateur. « Celui qui est dépourvu de douceur est dépourvu de tout bien », dit le hadith. Les résistants membres du FLN ou de l’ALN n’ont ni égorgé ni fusillé les harkis et collaborateurs après le cessez-le feu. Car le modèle culturel de Mhadja n’est pas Marx, Lénine, Trotski, ni Che Guevara ou Mao, mais Mohamed (ç) le Prophète de l’Islam qui respectait à la lettre sa signature sur les traités de paix établis avec ses ennemis polythéistes mecquois. L’Emir Abdelkader qui, malgré les manquements à la parole donnée par la France (cf. p. 75), respecta la sienne jusqu’à sa mort. Lorsque ses intérêts de gros propriétaire terrien furent menacés, le bachaga El Mokrani envoya une lettre à l’Emir, lui demandant de le rejoindre dans la révolte. Mais l’Emir refusa par principe. On ne manque pas à la parole donnée ! C’est lui qui, après le constat de la situation dramatique du peuple algérien plongé dans la misère et l’insécurité en 1847, a laissé cette phrase à méditer par tous ceux qui voulaient reprendre les armes contre la France sans être bien préparés : « Celui qui n’est pas en mesure de se suffire à lui même doit s’attendre à des déconvenues ». Finalement El Mokrani échoua dans sa révolte contre l’armée française alors que les révolutionnaires du 1er novembre 1954 réussirent l’exploit de ruiner ce qui restait encore de l’empire colonial français en Afrique.. Mais ce n’est pas par hasard si au temps de la colonisation (1830-1962) les Mhadja furent très nombreux à rejoindre l’Emir Abdelkader, puis les maquisards dans les montagnes avoisinantes et les fidayîn dans les grandes villes d’Oran et de Bel-Abbès, alors que durant la période du terrorisme (1992-2002), un seul garçon d’El Gaada originaire des R’maïssiya avait rejoint le maquis islamiste et n’a plus donné signe de vie, un seul jeune militaire (fils de harki) originaire des Mkhachich avait été assassiné par les islamistes (des étrangers à la région) malgré les promesses données à sa mère et un seul fonctionnaire (le garde champêtre) des Fraïha – un fils de chahid pris au piège de son double jeu – s’était fait enlever par l’armée algérienne et a disparu à jamais. Certains Mhadjis d’El Gaada que je présente dans ce chapitre sont pour moi, plutôt des personnalités dans le sens moderne du terme : des notables de leur époque, indépendamment de leurs vertus et qualités morales ; mais pour d’autres, ce sont vraiment des exemples de « personnalités » dans le sens ancien du terme : des Mhadjis qui se distinguent de la masse de Mhadja par leur rectitude morale, leurs connaissances ou leurs engagements pour des causes nobles."
"12. Saad Hachemi Amar Ali (1901-1976) des Ouled Sidi Amar Lakehal fut l'un des fondateurs en 1937 de l'association El Falah (Mouvement réformiste algérien, Amar Hellal, O.P.U., Alger, édition 2003). Conseiller général d'Oran, il fut assigné à résidence au Sud (Jenien Bou Rzeg) en même temps que le fqih Si Miloud el Mhaji (Mohamed Brahim Miloud) (cf. personnalité 11), après le début de la Seconde Guerre mondiale (Quotidien d'Oran du 31/5/1998). Il exercera le métier de mandataire aux halles centrales d’Oran. Il est le père de la moudjahida martyre de la Révolution algérienne, Saad-Hachemi-Amar Aïcha bent Ali (1937-1956), dont le lycée de Haï Zitoun d’Oran porte le nom." (page 38)
Liste des 105 chouhada d'El Gaada
87. Saad-Hachemi-Amar Aïcha bent Ali (1937-1956) (le lycée à Haï Zitoun d’Oran porte son nom)
88. Saad-Hachemi-Amar Mhadji (1922-1958)

Le site engagé Allainjules a enregistré en direct une séquence de la Chaine Al3ybria appartenant au roi d'arabie séoudite regardez :

http://allainjules.com/2013/07/23/la-blague-du-jour-syrie-la-chaine-saoudienne-anti-syrie-alarabiya-se-plante/

Regardez bien la vidéo en dessous. Il s’agit de la présentatrice du journal de la chaîne saoudienne Alarabiya. Elle annonce un reportage sur la Syrie, avec bien sûr, comme d’habitude, un reportage pour glorifier les vaillants combattants de la liberté, de la justice et de la démocratie. L’écran est même agrémenté de leur logo en haut à gauche. Des doigts de la victoire avec le drapeau de la colonisation française que la "révolution" a récupéré. Drôle de révolutionnaire quand même !

Mais, au niveau de la régie, une bourde. Le technicien ou les techniciens qui doivent lancer le reportage se plantent. Histoire cocasse qui n’a pas fait rire les Al-Saoud, sans doute. Nous ne savons pas le sort qui sera réservé à ces techniciens ou ce réalisateur. Toujours est-il que, même les éléments techniques lâchent les ennemis de la Syrie. Est-ce un signe mystique ? Regardez.

On n'entendait parler de Henri Maillot (1928-1956),que lorsqu'on se rendait à deux endroit  : Hopital Maillot ou un patelin perdu dans le Djurdjura Meridional ; mais voilà que son nom surgit à nouveau :  ce 8 juin 2013 en souvenir de son assassinat par des harkis à Orléanville actuel Chlef , ses compagnons se sont recueillis au cimetière à Alger et lui ont promis de baptiser une institution ou une structure publique du nom d'Henri Maillot  en hommage à  son combat pour l'Algérie indépendante.

C'est au cimetière chrétien à El Madania à la mémoire d'Henri Maillot, à l'occasion du 57é anniversaire de sa mort un 5 juin 1956 que des moudjahidines , ont évoqué le nationalisme et l'humanisme de cette personnalité algérienne qui avait répondu à l'appel de la révolution du 1er novembre ».

Il y avait  parmi l'assistance sa sœur  Yvette Maillot , le moudjahid Félix Colozzi ,moudjahid Tahar Hocine, Mustapha Boudina, le moudjahid Hadj Mustapha qui ont observé une minute de silence à la mémoire du défunt et déposé une gerbe de fleur sur sa tombe et ont affirmé « l'attachement » de son frère à l'Algérie et à son peuple.

Ils ont souligné en lui  une  personnalité brave et exceptionnelle s'étonnant que  beaucoup de jeunes ne connaissent pas à ce jour les hommes valeureux de la révolution algérienne et les sacrifices qu'ils ont consentis pour ce pays».

Quant au  compagnon d'armes et le voisin de Maillot au quartier El Madania (ex-Clos Salembier), il a insisté sur le rôle « nationaliste » joué par Maillot lors de la guerre de libération.

Né à Alger en octobre 1928, Henri Maillot a fait ses études primaires à l'école publique du quartier d'El Madania (ex-Clos Salembier), avant d'intégrer en 1943 la jeunesse communiste d'Alger où il joua un rôle de tout premier ordre au sein du PCA.

 En 1947, Il est diplômé de l'Ecole supérieure du commerce d'Alger tout en militant au sein de l'organisation des étudiants algériens à l'époque, avant de rejoindre l'école militaire de Cherchell d'où il sort avec le grade d'aspirant.

En 1953, Maillot entre au journal Alger-Républicain aux côtés d'autres militants communistes. 'il a détourné un camion d'armes le 4 avril 1956 alors qu'il était militant au sein du Parti communiste algérien (PCA).

Henri Maillot est tombé au champ d'honneur le 5 juin 1956 dans une embuscade tendue par les supplétifs (harkis) de l'armée française, menée par le Bachagha Boualem, dans la région d'El Karimia (Chlef).

Si tu avais du courage,
Nous ferions un beau voyage, voyage
Qui nous mènerait au pays des cheveux blancs,
Si tu avais un peu plus de courage

Tu es une femme moralement mignonne
Mais tu ne sais dire oui à personne, personne.
Tu laisses la porte fermée à tous les vents,
Tu ne donnes pas ton cœur à celui qui sonne

Tout bon jardin a sa grille,
La pudeur est celle des filles.
Si j'ose te dire ces problèmes,
C'est parce que je t'admire

Si tu avais du courage
Je me mettrais bien en cage, en cage
Et l'on construirait un petit nid à deux,
Si tu avais un peu plus de courage
Mais tout ce long bavardage
Ne vaut pas ton beau visage.
Il te suffit de sourire
Pour que mon cœur chavir